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La traduction de milliers de musiques avec TraduZic
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La nouvelle Lune est élevé dans la couronne de la métropole
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Brillante mais qui est-elle pour être au-dessus ?
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Les gens se battaient, débâtaient et s'agitaient
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Les gangsters de Gotham se débrouillent comme ils peuvent
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Je lutte avec des mots et des idées
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Mes oreilles se dressent cherchant ce qui va transmettre
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Les scribes peuvent s'appliquer à la transcription
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Il n'y a pas de moment où l'habitude est approprié
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Vivant la nuit nous allons décrire l'impénétrable et l'indiscutable
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Nous sommes de New York le narcotique possédant la force du métal et la fibre optique
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Où des mercenaires sont payés dans le commerce des conseils boursiers
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Pour faire du profit les criminels assoiffés prennent dans nos poches
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La classe ouvrière à la peau endurci
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Les grattes-ciels sont énormes et le coût de la vie est absurde
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Tu peux jouer le jeu ou mourir il n'y a pas d'options
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Il n'y a pas de Batman et de Robin
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Je ne peux pas choisir entre les flics et les voleurs car Ils ont des partenaires et sont impitoyables
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Il n'ont pas de conscience et les ruelles restent dans le noir
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Où les non-croyants ont le coeur endurci
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Mes serres d'aigle restent aiguisés
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Les lumières de la ville sont palpitantes
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Tu peux soit te frayer un chemin ou sangloter
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La Pomme est meurtrie mais sera douce si tu choisis de la manger
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Tu risques de perdre tes dents car beaucoup se sont retirer
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Les nouvelles du soir se répètent, qui s'est fait descendre ?
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Je mets en lumière ces sauvages et les moyennes de NASDAQ
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Mon récit se prolonge pour expliquer cette existence
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Parmi les lumières du port qui se maintiennent à distance
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Je pense tellement que je ne peux pas dormir
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Je reste éveillé jusqu'à ce que le Soleil se lève
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Je respire et inhale les vapeurs d'étoiles brillantes
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J'expire la fumée de mon joint qui retrace l'horizon
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J'entends les basses comme un appel à l'accouplement
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Je ne peux pas vous supporter mais je peux sentir la ville respirer
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Poitrine haletante contre la chair de la soirée
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Je soupire avant de mourir comme le dernier train quittant
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Je respire la ville assis sur ces putains de marches
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On descend de nouveau plus bas, l'enfer figea la nuit quand la ville dormait
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La bête se glissa à travers les jungles de béton communiquant avec quelqu'un d'autre
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Les hélicoptère de police sont là où les eaux jaillissent des bouches d'incendies
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La bête rôde dans la zone et les beats que nous faisons
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T'es sur la mauvaise voie et t'as l'air visiblement secoué
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J'ai surpris des plongeurs plonger dans la mort qui est peinte par des chiffres avec de la Krylon
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Ces gars là se prennent pour Dieu en ayant des enfants avec des femmes faibles
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On jouait les uns contre les autres comme des marionnettes
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Tu as tiré lorsque l'attraction que tu avais était de la poudre aux yeux
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Les connaissances que tu as en prison sont comme une bénédiction
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Ce que tu vois dans le ciel de Dieu dans le brouillard sont les rêves brisés de s'envoler sur les ailes de l'obscénité
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Les pensées que les gens mettent en l'air
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Les endroits où tu peux te faire tuer par une lumière éblouissante mais tout est juste
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C'est un paradoxe qu'on appelle la réalité
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Rester vrai te rendra victime de la normalité anormal
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Il y a des tueurs nés comme Mickey et Mallory
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Ne sachant pas comment plafonné comme le salaire d'un joueur de la NBA
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Je pense tellement que je ne peux pas dormir
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Je reste éveillé jusqu'à ce que le Soleil se lève
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Je respire et inhale les vapeurs d'étoiles brillantes
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J'expire la fumée de mon joint qui retrace l'horizon
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J'entends les basses comme un appel à l'accouplement
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Je ne peux pas vous supporter mais je peux sentir la ville respirer
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Poitrine haletante contre la chair de la soirée
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Je soupire avant de mourir comme le dernier train quittant
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Je contemplais mon ancien quartier
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J'ai ressenti son esprit dans le vent et je savais que mon ami était parti pour de bon
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J'ai jeté de la terre sur son cercueil et je ne pouvais pas masqué mon chagrin
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C'est un mélange d'émotions que j'avais du mal a maîtriser
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Je chorégraphie les 7 étapes du Paradis
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Et en Enfer j'attends d'expirer et fais du pain au levain
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Le vétéran de la guerre froide c'est Chicago
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Ce que j'en sais ou ce que l'on en sait
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Certains jours je prends le bus pour rentrer car je pars des mois loin de chez moi
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Je me suis assis près de la fenêtre en me saisissant la tête en repensant à l'époque
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Les jeunes filles ont des esprits faibles mais un corps solide
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J'ai essayé d'appeler ou du moins beeper le Seigneur mais il n'a pas de portable
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C'est chacun pour soit donc je dois me débrouiller toit seul
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Je dois avouer qu'il veulent nous voir partir de nos terres
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En démolissant nos quartiers pour fabriquer des maisons de luxes
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Ma situation est entre Cabrini et Love Jones
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Entouré par la haine et pourtant j'aime où je vis
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Je demande à mon pote comment il pensait voyager à travers l'univers musical
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C'était difficile d'imaginer qu'il n'avait pas été au centre-ville depuis longtemps
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J'ai entendu la ville respirer profondément dans son sommeil
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Pour moi c'est difficile de tenir dans la réalité que je touche
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J'ai entendu mon pote respirer profondément dans son sommeil
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Pour moi c'est difficile de tenir dans la réalité que je touche
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Je pense tellement que je ne peux pas dormir
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Je reste éveillé jusqu'à ce que le Soleil se lève
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Je respire et inhale les vapeurs d'étoiles brillantes
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J'expire la fumée de mon joint qui retrace l'horizon